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L'E-GATE, l'embarquement "nouvelle génération"

Publié le 14-10-15

Un moyen efficace d'accéder encore plus rapidement à l'avion en scannant vous-même votre carte d'embarquement.

L’automatisation des procédures d’embarquement franchit un nouveau palier à l’Aéroport Nice Côte d’Azur ! Après la possibilité de réserver directement son vol, d’imprimer sa carte d’embarquement, d’enregistrer et de déposer ses bagages sans intervention humaine, le passager peut désormais passer seul la porte d’embarquement, en scannant tout simplement sa carte d’embarquement.

Le Terminal 2 vient en effet de s’équiper de portes automatiques en zone Schengen. Si ce dispositif est déjà largement utilisé en Amérique, en Asie et dans quelques pays européens comme l’Allemagne, en France, il est encore en phase de test. Pas chez nous ! La plateforme a décidé de le déployer et a commencé son installation. Trois double-portes sont déjà en fonction et une quatrième est prévue cet été au Terminal 2 puis une cinquième au Terminal 1 à l’automne. Les avantages de ces e-gates ? Ils sont nombreux.

La fluidité et la rapidité d’abord. Mais aussi la possibilité de libérer le personnel habituellement dédié aux portes d’embarquement et de l’affecter à des tâches plus valorisantes comme l’aide aux passagers. Question sécurité, aucune crainte : le passage intervient après le contrôle aux postes de sûreté.

Autre innovation en test à l'aéroport : le "Shoe scanner" !

L’Aéroport Nice Côte d’Azur expérimente en première mondiale un appareil permettant aux voyageurs d’être contrôlés tout en restant chaussés.

Une fois le portique passé, il leur suffit – dans l’hypothèse d’une vérification aléatoire ou si le portique sonne - de glisser un pied puis un autre dans un « shoe scanner ». L’opération dure moins de 30 secondes. « Si ce type d’équipement existe déjà, explique le chef du projet Vision Sûreté, le nôtre bénéficie d’une technologie innovante unique au monde. Outre sa capacité à détecter une menace métallique, le dispositif est également capable de repérer la présence d’explosif ». Développé par la société CEIA International, leader du secteur, il a été testé au Terminal 1 pendant trois mois, du 1er juillet au 30 septembre.

Dénommé SAMDEX, l’appareil n’a pas encore été commercialisé. « Nous en avons eu la primeur dans le cadre de notre programme d’ ». Un pas de plus pour une sûreté encore renforcée de notre plateforme et un plus grand confort de nos passagers !